Avant en argentique avant d’appuyer sur le
déclencheur il fallait ;
-Régler la sensibilité de la
pellicule en ASA (100, 200,400 etc.)
-Choisir une ouverture F de
l’objectif
-Régler la vitesse avec la cellule
-Avec la bague de l’objectif régler
la distance pour faire la netteté du
sujet (ah le bon temps du stigmomètre et des micro prismes)
-Interpréter la cellule si besoin
pour ajuster la lumière.
-Déclencher, maintenant c’est shooter
Maintenant
avec le numérique.
La base qui est l’équilibre du
triangle « sensibilité ouverture vitesse
» est toujours d’actualité.
Ce qui est nouveau :
-Le choix de la définition de la
photo.
-La sensibilité ASA est devenue ISO
et de plus elle est réglable
-La balance des blancs qui sont
réglables pour ajuster le capteur à la source de lumière : soleil, luminaires
etc.
-L’AF : l’autofocus depuis que
Minolta a inventé l’AF on a oublié le stigmomètre et les micros prismes. C’est
bien dommage. Plusieurs réglages sont possibles.
-Les objectifs sont motorisés.
-La cellule a été complétée par la mesure de l’exposition. Plusieurs
réglages sont possibles.
-L’interprétation de l’exposition
qui peut être automatique ou manuelle
-L’écran LCD
-L’histogramme
-La ou les cartes mémoire
- Une foultitude de gadgets complètement
inutiles, juste pour satisfaire l’ego des constructeurs et des chalands,
et qui ne servent qu’une seule fois à l’exploration de son nouvel achat et que
l’on oublie instantanément
Comment faire avec tous ces
paramètres
-
Ne pas se prendre le chou et se mettre en automatisme total.
-
S’attaquer au problème
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