Les pérégrinations d’un gallinacée farani au bord du lagon tahitien

ETAPE 5 Le shooting avant et maintenant

Avant  en argentique avant d’appuyer sur le déclencheur il fallait ;
-Régler la sensibilité de la pellicule en ASA (100, 200,400 etc.)
-Choisir une ouverture F de l’objectif
-Régler la vitesse avec la cellule
-Avec la bague de l’objectif régler la distance pour faire la  netteté du sujet (ah le bon temps du stigmomètre et des micro prismes)
-Interpréter la cellule si besoin pour ajuster la lumière.
-Déclencher,  maintenant c’est shooter

Maintenant avec le  numérique.
La base qui est l’équilibre du triangle «  sensibilité ouverture vitesse » est toujours d’actualité.
Ce qui est nouveau :
-Le choix de la définition de la photo.
-La sensibilité ASA est devenue ISO et de plus elle est réglable
-La balance des blancs qui sont réglables pour ajuster le capteur à la source de lumière : soleil, luminaires etc.
-L’AF : l’autofocus depuis que Minolta a inventé l’AF on a oublié le stigmomètre et les micros prismes. C’est bien dommage. Plusieurs réglages sont possibles.
-Les objectifs sont motorisés.
-La cellule a été complétée  par la mesure de l’exposition. Plusieurs réglages sont possibles.
-L’interprétation de l’exposition qui peut être automatique ou manuelle
-L’écran LCD
-L’histogramme
-La ou les cartes mémoire
- Une foultitude de gadgets  complètement  inutiles, juste pour satisfaire l’ego des constructeurs et des chalands, et qui ne servent qu’une seule fois à l’exploration de son nouvel achat et que l’on oublie instantanément
Comment faire avec tous ces paramètres
-  Ne pas se prendre le chou et se mettre en automatisme total.
-  S’attaquer au problème

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